Hercule738
31,9 k

L'ANTICHRIST SE DEVOILERA SUITE A UNE DECOUVERTE ARCHEOLOGIQUE A RENNES-LES-BAINS (AUDE) A LA SUITE DE LAQUELLE LE CHRIST SERA REJETE PAR LES PLUIS HAUTES INTANCES DE L'EGLISE ...

"CODE AA RENNES-LE-CHÂTEAU, L'ENIGME"
Auteur : HERMAN TREIL

+ + + + +

LE MOT DE L’ÉDITEUR


L’église de Rennes-le-Château, l’édition originale du livre de l’abbé Boudet (1886), et les environs de Rennes-les-Bains, ne m’étaient pas inconnus. Après tant et tant d’ouvrages, d’articles de journaux, de romans, de feuilletons TV… autant de ballons de baudruche qui se dégonflent inévitablement, ce manuscrit, quel choc ! quelle aventure éditoriale !

Coup de cœur irrésistible à faire partager absolument !

Une cascade de documents : beaucoup d’inédits et tant d’autres que l’on redécouvre de manière inattendue, selon une progression toujours plus resserrée dans le temps comme dans l’espace.

« - Herman, dis-je à l’auteur, mesurant ma responsabilité, ne craignez-vous pas que l’on ne « laboure » les lieux ?

-. C’est en partie déjà fait, me répondit-il, mais « quelque chose » résiste encore, un peu comme dans le livre édifiant des Maccabées (II,2,5 s), certains de ceux qui avaient suivi Jérémie pour cacher l’Arche d’Alliance dans un antre de montagne « y retournèrent pour marquer le chemin, mais ne purent le retrouver ». Ce qui laisse entendre la protection implicite du lieu face à leur arrière pensée, Dieu leur ayant envoyé « une puissance d’égarement », qu’évoque saint Paul en d’autres contextes significatifs. (II Thess 2,10) »

Nombre de religieux ont connu ce secret à travers les âges, si bien qu’« il est tombé en des mains étrangères et deux fois profanes, et, avec lui, tous les secrets du Secret », déplorait amèrement cet ecclésiastique toulousain du XIXe siècle. (p. 220)

Mais rien ne peut être avant son Heure... le pire avant le meilleur.

« Terribilis est locus iste ! » […] « solis sacerdotibus »

« Terrible est ce Lieu ! [… ] réservé aux prêtres seuls. »

(p. 399, pp. 736,737)

Un avertissement en ce centenaire de la mort de l’abbé Boudet,
la foi et la raison de ce livre.
AVERTISSEMENT DE L’AUTEUR


Cet ouvrage résumant plusieurs milliers de pages, dans l’obligation frustrante d’élaguer sans altérer la profondeur d’une matière exceptionnelle recentrée sur l’essentiel, il fut nécessaire d’illustrer l’étude par des photographies suggestives et petits tableaux comparatifs, réduisant ainsi les commentaires en facilitant l’analyse. Les chapitres formant un tout graduellement ordonné impliquant la patience du lecteur pour en retirer les fruits, dans le même but de clarté, la répétition d’un certain nombre de citations, reprises en des contextes divers, était tout aussi indispensable à la révélation du code AA et du secret qu’il véhicule. Pour autant, les équivalences ne sauraient suffire si elles ne s’inscrivent en un contexte suffisamment probant.

Entre saine suggestion et impudique transparence, quelque soit l’expérience ou le talent du codificateur à travers les âges, prenons garde à ne pas surestimer « le voile » au détriment de ce qu’il cache... C’est là l’écueil de l’ésotérisme où jongleries cérébrales et digressions guettant le chercheur, dans le vertige d’une spiritualité sans vie spirituelle, la pseudo-connaissance finit toujours par éclipser l’amour

« Personne, après avoir allumé une lampe, ne la met dans quelque endroit secret ou sous le boisseau, mais sur le lampadaire pour que ceux qui entrent voient la clarté… Vois donc si la lumière qui est en toi n’est pas ténèbres ! » (Luc 11,35)

Certes, en ôtant le boisseau, le code AA laisse rayonner la Lampe, mais il n’est pas la Lampe… La lecture achevée, oublions-le, la Lumière n’a nul besoin d’un filtre.

CENTESIMO ANNO MORTIS ABBATIS HINRICI BUDETI,

SACERDOTIS BALNEARUM ReGNI
.

Tastenac, La case du Jeandin, 16 avril 2015

CENTESIMO ANNO MORTIS ABBATIS HINRICI BUDETI,

SACERDOTIS BALNEARUM RE GNI.

S.R.E.G.

Herman Treil
Gregor Buyetichyne
Jean Mombuy-Chemin
Ray Sugar Mandozza
Damien Sterzin
Léo Tacffins

Achevé d’imprimer, à Mercuès, le 5 août 2015,

Dépôt légal, août 2015


ISBN 978-2-9553862-0-0

Collection ParateViam

ÉDITEUR GE DIFFUSION

UN LIVRE REMARQUABLE À CONTRE-COURANT !

Après les innombrables publications, articles et documentaires sur l’Énigme de Rennes-le-Château, on peut bien comprendre qu’en période de crise plus ou moins durable, on n’édite pas un tel ouvrage de 896 pages, sans une motivation sérieuse. Oui, la réalité dépasse vraiment la fiction ! Le texte de dos de couverture n’exagère nullement quand il essaie de rendre compte au mieux du contenu exceptionnel de ce livre à contre-courant de tout ce que l’on a pu lire jusqu’à présent, dans sa révélation édifiante d’un vrai secret d’Église !

Aussi, joignant l’intérêt de l’histoire à celui de l’enquête, l’auteur, maniant les trois langues bibliques (hébreu, latin, grec), a souhaité faire participer le lecteur à sa recherche, fruit d’une vie d’études à l’écart de toute médiatisation, en partant de ce que l’on croit connaître aujourd’hui de l’Énigme de Rennes-le Château, soit l’église de ce petit village restaurée de 1888 à 1897 par l’abbé Bérenger Saunière (1852-1917), commanditaire de constructions annexes (villa, serre, chemin de ronde, tour), et l’étrange ouvrage « La vraie langue celtique et le cromleck de Rennes-les-Bains » (1886), publié à compte d’auteur par son confrère l’abbé Boudet (1837-1915), curé de la paroisse voisine de Rennes-les-Bains : données sous-estimées qui ne sont en réalité que l’épiphénomène tardif du Secret, la face cachée de l’iceberg obscurcie par toutes sortes de fantaisies historiques.

DU CODE DE L’AA AU VIRTUEL CROMLECH,
LE LIVRE DE L’ABBÉ BOUDET


Privilégiant la structure avant d’aborder plus intimement le détail, Herman Treil nous donne les clefs de l’analyse et nous immerge peu à peu dans un flot de révélations propres à captiver le simple lecteur comme le chercheur le plus avisé…

Au terme de cette approche méthodique, nous découvrons un code caché et son fondement biblique, posant aussitôt la question de sa raison d’être au XIX e siècle pour les prêtres de ces petites paroisses rurales ? Soyons clairs, l’abbé Boudet n’a nullement conçu ce code, son talent, tant décrié par les sociétés « savantes » de son époque, consistant à avoir créé un genre nouveau d’ouvrage voilé, thèse d’archéologie linguistique, digne en bien des points des récits facétieux de Rabelais, maître ès bouffonneries couilloniformes, seule la Bible éclairant la réalité cachée du virtuel « cromleck de Rennes-les-Bains » et de son mystérieux « centre »…

LA DISPOSITION CODÉE DE L’ÉGLISE
DE RENNES-LE-CHÂTEAU ET LE CALICE DE LA CÈNE


Quant à la disposition codée de l’église de Rennes-le-Château mise en lumière par Herman Treil il y a près de 20 ans dans une revue justifiant d’un dépôt légal, elle a fait, sans la moindre mention de source, le tour du monde par le biais des sites Internet, d’ouvrages d’auteurs peu scrupuleux, voire d’une thèse de doctorat en littérature comparée inévitablement suivie d’un livre, mais encore d’émissions télévisées, disposition dans tous les cas systématiquement amputée de son fondement chrétien, détournée et accommodée à toutes sortes de « sauces » syncrétiques !... (voir Code AA, p. 442, 447, 613)

Bien qu’inclus dans un tracé chrétien parfaitement identifiable, il est vrai qu’il n’est guère habituel de découvrir le nom du Graal dans une église (!), plus encore, sans doute, dans celle d’un petit village perdu sur les hauteurs inspirantes d’un paysage audois… C’est pourtant le caractère religieux de ce tracé qui, dans l’analyse raisonnée de l’édifice, mit fort logiquement l’auteur sur la voie. A contrario, les plagiaires qui se sont quelques années plus tard attribués la découverte, seraient bien en peine d’expliquer leur cheminement, d’autant qu’ils en ont pathétiquement supprimé la Croix, élément fondamental du tracé, trop dérangeant sans doute !...

LE RELAIS DE L’ALLIANCE
ET LA TRANSMISSION DU CALICE DE LA CÈNE


Or, parmi tant d’éléments révélés par l’auteur, à la même époque et dans le même contexte, nous avons plaisir à extraire une preuve incontestable de l’objet voilé par le codage. Observons attentivement, dans la scène qui suit, « le personnage » tout près du Christ, tenant dans sa main un calice. (voir code Aa, p. 762)

Serait-ce là l’illustration du récit de saint Jean sur le Crucifiement :

« Jésus dit : J’ai soif ! » Il y avait là un vase plein de vinaigre. On fixa donc à une branche d’hysope une éponge pleine de vinaigre et on l’approcha de sa bouche. Lors donc que Jésus eut pris le vinaigre, il dit : « Tout est consommé ! », et inclinant la tête, il remit l’esprit. »

Ici, ni branche d’hysope, ni éponge ni vase… mais un calice d’or sur pied ! « Le personnage » recueillerait-t-il le Précieux Sang du Christ, scène inconnue des Évangiles et incompatible avec le fait que, les apôtres n’ayant nullement compris que Jésus devait ressusciter des morts (Jn 20,9), le prélèvement de Sang en cet instant n’aurait aucun sens ! Du reste, point de Sang ni de prélèvement, d’autant que, s’agissant de la station X, Jésus n’est pas en Croix mais dépouillé de ses vêtements (!), « le personnage » et son calice ne se retrouvant pas dans les stations suivantes, alors que le Sang ruisselle de la poitrine de Jésus à la station XIII de la descente de la Croix !...

Dès lors ne manquons pas de constater que ce « personnage » entrecroise le bras tenant son Calice au bras du Christ, selon un geste que l’on retrouve à la même Xe station du Chemin de Croix de Rennes-le-Château, où le soldat romain, posant son genou sur le bouclier, est amené à s’agenouiller devant Jésus, qui le regarde avec miséricorde (voir Code AA, p. 751), geste exprimant symboliquement le transcendant Relais de l’Alliance et son Mystère annoncé par Jésus aux Grands Prêtres et aux Pharisiens (Mt 21,43, cf. Rom 9,25) :

« Le Royaume de Dieu vous sera ôté, et il sera donné
à un peuple qui en produira les fruits ! »

Le geste des bras entrecroisés commun aux deux Chemins de Croix traités par le même statuaire de Rennes-le-Château, traduit parfaitement le mystérieux Relais de l’Alliance, et si la station X a judicieusement été choisie pour l’exprimer, c’est que ce chiffre romain X est bien le seul à illustrer précisément l’image des bras entrecroisés ! Telle est, en toute clarté, la leçon de cette Xe station !

Notons, par ailleurs, qu’en la même église urbaine où figure le Saint Calice d’or, le blason des franciscains ornant les édifices du monde entier, présente les deux bras de Jésus et de saint François d’Assise symboliquement entre-croisés, tous deux formant un X associé à la Croix, représentations nommées « conformités », dans le sens où le saint se conforme à la vie du Christ (entendons imite sa vie), avec le sens inhérent du Relais de l’Alliance, Jésus lui ayant donné pour mission : « Va et rebâtis mon Église ! ».

Vous aurez probablement l’envie de confronter les stations de ces deux édifices, en découvrant dans l’ouvrage, l’histoire de l’église urbaine, ô combien emblématique, pour laquelle les prêtres bâtis-seurs membres de la société secrète de l’Aa… ont commandé au statuaire de Rennes-le-Château, Giscard, un monumental Chemin de Croix illustrant sans ambages le Calice de la Cène et sa transmission. (Code AA, p. 763)
LE SECRET EST « L’ÂME »

DE LA COMPAGNIE DU SAINT SACREMENT ET DE L’AA


Les fondateurs de cette église appartiennent, en effet, à la société secrète de l’Aa, intimement liée à la Compagnie du Saint-Sacrement à la dissolution de laquelle elle survécut, l’auteur nous livrant sur ces sociétés protectrices du Secret (sans oublier les personnalités et artistes en lien direct avec elles : Fieubet, Fouquet, Poussin...), une étude historique magistrale qui faisait défaut jusqu’à nos jours ! Et ce ne sont nullement, en dépit des présentations simplistes, de nouvelles congrégations ou ordres religieux, mais des institutions secrètes d’une ampleur évidente englobant pratique-ment tous les grands ordres de l’Église : Compagnie de Jésus, Prêtres de la Mission ou Lazaristes, Oratoriens, Dominicains, Doctrinaires, Sulpiciens, etc., leurs devises similaires précisant que « le Secret est l’âme de la Compagnie », « l’âme de l’Aa », toutes deux au cœur de l’Énigme de Rennes, comme l’auteur l’établit à partir de lettres découvertes dans leurs archives secrètes.

Histoire d’un combat spirituel traversant les siècles, un distin-guo s’impose d’emblée quant au Secret : les précautions destinées à éviter la profanation d’un lieu ou d’objets sacrés, n’ont rien à voir avec l’initiation graduelle de sectes ou sociétés secrètes dont l’enseignement élitiste s’écarte « à l’arrivée » des idéaux présentés « au départ » au néophyte… et professés à l’extérieur. Or, non seulement le Secret n’éloigne pas le fidèle de la foi, mais l’y ramène et l’y conforte !

LA RÉVÉLATION DU SECRET ET « LA FIN DES TEMPS »

En ce sens, la nécessité de cette présentation nous contraignant à brûler les étapes, l’Énigme de Rennes-le-Château pose la double question du secteur et du Moment particulier choisis pour la publication du livre de l’abbé Boudet et la restauration de l’église voisine par son confrère l’abbé Saunière !

Dans la perspective du combat spirituel induit par la nature du Secret et sa localisation, il ne fait aucun doute que les prêtres à l’origine de ces travaux ont, à tort ou à raison, envisagé une proche « fin des temps » révélée par la conception de leur avertissement.
Précisons, au regard de l’Écriture Sainte, que « la fin des temps » n’est pas la fin du monde, mais la Parousie, Retour en Gloire du Christ dans une immense apparition cosmique sur les Nuées du ciel, et non dans une nouvelle incarnation ou réincarnation terrestre, qui sera, en fait, la manifestation de l’Antéchrist :

« Et de même que le destin des hommes est de mourir une seule fois (après quoi c’est le Jugement), ainsi le Christ s’est-il offert une seule fois pour enlever les péchés d’un grand nombre, et il se mon-trera une seconde fois sans avoir affaire au péché, pour ceux qui l’attendent en vue du Salut. » (Hébr 9,27) « Attendant la bienheureuse espérance et apparition de gloire de notre grand Dieu et Sauveur, Christ Jésus, qui s’est donné pour nous pour nous racheter de toute iniquité. » (Tite 2,13-14)

« Et alors paraîtra dans le Ciel le Signe du Fils de l’Homme, et alors se frapperont la poitrine toutes les tribus de la terre, et elles verront le Fils de l’Homme venir sur les Nuées du Ciel avec puissance et grande gloire. » (Mt 24,27-30 ; cf. 16,27-17,2 ; Mc 8,38-9,3 ; 13,26 ; Lc 9,26-29 ; 17,37 ; 21,27 s ; Ac 1,11 ; Ap 1,7 s)

Comme pour les premiers Chrétiens, plusieurs événements ont justifié cette proximité aux yeux des prêtres de l’Aa :

●-. Le lourd climat de déchristianisation qui a suivi la guerre de 1870-1871, la Commune et son gouvernement insurrectionnel prô-nant l’abolition de la religion, la persécution toujours plus grande des prêtres et des congrégations religieuses, doublée d’une guerre scolaire implacable qui mit aux prises Mgr Billard, évêque de Carcassonne (diocèse dont dépend Rennes), avec les autorités civiles.

.●-.Face à cette situation infiniment tendue et à la dégradation des relations de la France avec le Saint-Siège, l’élection du Pape Léon XIII en 1878, apparut comme un signe de la proche Parousie :

Fait unique dans l’Histoire de la papauté, le Saint Père (franco-phile) adopta, en effet, pour devise « Lumen in coelo » (Lumière dans le ciel ), extraite de la prophétie de saint Malachie (non reconnue par l’Église !) constituée de périphrases énigmatiques dési-gnant la liste des Papes depuis le moyen-âge jusqu’aux épreuves de la fin des temps, la devise relative à son pontificat « éclairant » son blason familial, conservé de ce fait comme blason papal !
Il était orné d’une comète d’or représentée contrepassante dans le ciel (c’est à dire d’ouest en est), ce cours irrégulier rappelant celui de l’étoile des mages lors de la première Venue du Christ, dès lors entendue comme le symbole de son Retour en Gloire sur les Nuées, le peuplier central étant barré par l’arc de l’Alliance avec le peuple, et le rôle de la royauté française exprimé par les deux lys au pied du peuplier (peuple et peuplier, justifiant le lien héraldique)…

Ainsi, dans le contexte du secret, nous retrouverons ce blason soigneusement sculpté au claveau de l’arcade du porche de l’église de Rennes-le-Château, ces armoiries d’un pape régnant étant tout aussi exceptionnelles à l’extérieur d’une église ! (voir code AA, p. 387)

Armoiries du Pape Léon XIII - Les mêmes au porche de l’église de Rennes-le-Château

[ A souligner qu’aux abords mêmes de l’église urbaine dont la fameuse station X du Chemin de Croix est ornée du « personnage » tenant le Saint Calice, s’élève un édicule prouvant l’importance des armoiries de Léon XIII aux yeux des prêtres de l’Aa ! Hélas, la restauration moderne a « corrigé » le cours de la comète, banalisant la prophétie ! – cf. code AA, p. 288, pp. 235-239 ]

●-. À cette association singulière voulue par le Saint Père de la devise prophétique à son blason familial, vint s’ajouter le 13 octobre 1884, l’extase dans laquelle il entrevit le combat spirituel de la fin des temps, rédigeant aussitôt deux prières à la Vierge Marie et Saint Michel Archange, à dire à la fin de la Messe pour la protection de l’Église, lesquelles furent aussitôt envoyées aux évêques du monde entier, suivies de la rédaction tout aussi révélatrice du Grand exorcisme de l’Église !

Deux ans après, en 1886, dans l’année du Congrès eucharis-tique international de Toulouse auquel participa Mgr Billard, paraissait l’étonnant ouvrage de l’abbé Boudet

●-. En 1894, le Pape Léon XIII promulgua le culte officiel de la Manifestation de la Médaille Miraculeuse, à la date de l’apparition principale du 27 novembre, en laquelle la Vierge Marie avait dicté en 1830, le tracé de la dite Médaille à sainte Catherine Labouré, en la chapelle de la rue du Bac à Paris, où Elle apparut juchée sur le globe du monde, ce qui en dit l’importance et la gravité, des rayons partant de ses mains, tombant avec plus d’abondance encore sur le mot « France » tracé sur la partie supérieure du globe visible à demi entouré d’un serpent !

Deux ans après, en 1896, l’abbé Saunière commandait à la maison Giscard de Toulouse, l’ensemble des statues des saints de la nef, permettant précisément la réalisation du fameux tracé codé selon le dessin de la Médaille Miraculeuse, plaçant ainsi le Secret sous la protection de Notre-Dame écrasant le serpent de son talon, selon la prophétie du triomphe de « la femme » de la Genèse (3,14-15 ; cf. Apoc 12), accréditée par les paroles de sainte Catherine Labouré aussitôt que la Médaille fut frappée :

« Il faut la propager ! Qu’il sera beau d’entendre dire :
Marie est la Reine de l’Univers !
Ce sera un temps de Paix, de Joie et de Bonheur ! »
(voir p. 60 s)

Annonce préfigurant la conclusion du 2ème Secret de Fatima délivré par Notre-Dame, le 13 juillet 1917, selon laquelle, après de grandes épreuves pour l’Église, le Saint Père, et les nations :

« À la fin mon Cœur Immaculé triomphera
et un temps de Paix sera donné au monde. »

LES ÉPREUVES DE LA FIN DES TEMPS
ET L’ÉNIGME DE RENNES-LE CHÂTEAU


Mais, précisément, avant ce temps de Paix, dans le contexte même de la grave perversion présente dans l’Énigme de Rennes, comme le rappelle, sur la base de l’Écriture, le Catéchisme de l’Église Catholique, réalisé par les évêques du monde entier à la demande de Jean-Paul II…

« Avant l’Avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre dévoilera « le Mystère d’Iniquité » sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’Apostasie de la Vérité. » (n° 675-677)

Or, dans le Secret de La Salette (1846), Notre-Dame révélait :

« Les mauvais livres abonderont sur terre ! »

Nul doute que ceux qui traitent de l’Énigme de Rennes-le-Château en donnant foi à la découverte prochaine du tombeau du Christ dans ses environs, préparent activement le combat de la fin des temps :

« Quelque chose fut enfoui dans les environs de Rennes-les-BainsS’agirait-il du corps momifié de Jésus ? D’un document relatif à son mariage ou à la naissance de ses enfants ?...» (Michael Baigent, Richard Leigh, Henri Lincoln, L’Enigme Sacrée, p..358-359)

« La tombe ultime du Christ se trouve, selon toute vraisem-blance, dans un lieu quasi inaccessible des Pyrénées, protégée par une immense conspiration du silence qui dure maintenant depuis deux mille ansÀ l’approche du troisième millénaire, ne serait-il pas temps de réviser non seulement la vie de Jésus, mais aussi sa mort ? » (R. Andrews, P. Schellenberger, La montagne sacrée, 1997, p. 343-353)

Les procureurs sont déjà en place ! Il est évident qu’une telle « certitude » n’a d’égale que la hâte à détruire le fondement de la foi chrétienne en la Résurrection ! « Si le Christ n’est pas ressus-cité, vaine est notre foi ! », s’écriait saint Paul.

La raison nous amène à comprendre que si l’on découvrait un tombeau et des ossements attribués au Christ, le christianisme (catholicisme, orthodoxie, protestantisme, anglicanisme) s’effondre-rait d’un coup ! Plus de résurrection, plus de crédibilité de l’ensei-gnement moral du Christ fondé sur son sacrifice d’Amour, laissant place à la venue de l’Antéchrist, préparée par les ouvrages à la base du Da Vinci code, traitant de l’Énigme de Rennes-le Château :

« Il n’en demeure pas moins que notre époque est en quête de quelque mythe messianique, de quelque message susceptible de combler son vide existentiel. S’il doit en être ainsi, un Messie mortel chargé de régner sur une Europe unie nous paraît mille fois préfé-rable à un Messie surnaturel destiné à précipiter l’Armageddon…» (M. Baigent, R. Leigh, H. Lincoln, The Messianic Legacy, 1986, trad. française, rééd..2006 : Le Message, Da Vinci Code, les sources, La lignée de Jésus et le devenir de notre civilisation, op. cit., pp. 470-471, 1987)

Or, en 1999, soit à l’orée du IIIe millénaire, Agnès-Marie jeune mère de famille française, suivie par son directeur spirituel, prêtre marial et ermite, fut gratifiée de messages du Christ annonçant cette proche et grave « découverte », dont nous extrayons l’essentiel :

● « Écris : Ma « tombe » va bientôt être découverte, selon ce que Je t’avais dit ; la grande attaque se prépare…Attention aux faux prophètes en ces temps de la fin d’un temps. Rétablissez la Vérité dès que vous entendez le mensonge, la grande apostasie circule dans tous les medias. Levez-vous alors pour crier la Vérité que Je vous donne.

Mon Corps glorieux est avec Moi dans les Cieux et

nuls ossements ne sauraient être sur terre, qui M’appartiennent.

Je n’ai laissé de trace sur terre que Mon Église et Ma Croix,

le Suaire et le Voile de Véronique,

et le Calice de la Sainte Cène qui confondra l’Usurpateur.

Entends cela au sens où je t’ai parlé

de Marie-Ostensoir de l’Hostie,


c’est elle qui « écrasera la tête du Dragon de son talon ».

Le triomphe de son Cœur annoncera la fin du règne du mal

et de mon souffle puissant

j’anéantirai l’Usurpateur aux yeux de tous...»

(Joie de Dieu, éd. Résiac, 2000, p..64, 14 août 1999)
À la lecture de ce message, en la veille de l’Assomption, s’impose le lien inéluctable entre les trois points fondamentaux concernant précisément, dans l’ordre, l’Énigme de Rennes :

1 -. La découverte du prétendu « tombeau du Christ ».
2 -. Le Calice de la Cène qui confondra l’Usurpateur !
3 -. Le triomphe du Cœur Immaculé de Marie !

Sans transition, parmi tant d’autres documents suggestifs, il nous plait d’extraire de l’ouvrage, ce texte d’un prophète ô combien sujet à caution… Nostradamus (!), dont l’auteur, soulignant son origine audoise par sa branche paternelle et sa foi catholique (son fils André entra dans les ordres), démontre sa connaissance du Secret directement lié à « l’Escriture DM » lumineusement décryptée par le code AA*, la première ville citée dans les Centuries (I,5) est en effet, Carcas*.(sonne), dont l’abréviation révèle le Mystère :

« Choses occultes et secrètes en la concavité de la terre, tant proches des fleuves comme non guère éloignées, seront manifestées par inondations et autres perscrutations... Et pour quelques grands secrets des lois et autres divines institutions ont été occultés longue-ment sous la concavité de la terre et autres seront… manifestés ouverts ; trouvés ce que tant de temps avait été caché au grand contentement de la religion chrétienne ! »
(Manuscrit de 1558,.publié trois ans après les Centuries !)

Découverte, sur laquelle il reviendra dans son almanach de 1563 :

« La grande inondation des torrents découvrira encor choses grandes et admirables sentant son siècle romain... Grandissimes sépulcres et thresors seront manifestés dont le plus admirable sera la structure de l’édifice, que tout le reste de l’ensemble de l’inscription. »

« Grandissimes sépulcres » des premiers Chrétiens ensevelis dans les Catacombes abritant le Saint Dépôt des « divines institutions », induisant la Présence, selon l’accomplissement de l’Alliance, des Tables de la Loi et du Saint Calice de l’Eucharistie, découverts…

« AU GRAND CONTENTEMENT
DE LA RELIGION CHRÉTIENNE
» !

Cette phrase jubilatoire anéantit la prétendue découverte du tombeau et du corps du Christ … éclairant, de fait, toute l’œuvre du prophète chrétien, conformément à la perspective eschatologique du Triomphe de l’Église et de « la sainte et immaculée Hostie », exaltée dans son épître à « Henry Second » (p. 19, l.19-21), devançant la prophétie de Catherine Labouré et celle de Fatima sur « le temps de Paix donné au monde » après la Grande Épreuve.

« Et sera faite Paix universelle entre les humains,

et sera délivrée l’
Église de Jésus-Christ de toute tribulation » !

CODE AA, LE LIVRE D’UNE VIE…

QU’UNE VIE NE SAURAIT ÉPUISER !


Dans cette présentation schématique inévitablement frustrante, nous avons voulu souligner trois des points principaux qui fondent l’avertissement de l’ouvrage, sans entrer toutefois dans l’éblouissante documentation (accompagnée d’illustrations, cartes, tracés, et tableaux) qui conduira le lecteur, selon l’itinéraire de la chambre haute et ses jalons et historiques semés de surprises… jusqu’à la Source Vive de notre Ère ! Dans cette attente… nous ne saurions trop recommander au lecteur de consulter l’édifiante table des matières sur notre site :

www.codeaa-rennes-le-chateau.fr

Par le biais de l’éditeur, de l’auteur, ou de collaborateurs, il sera répondu, dans la mesure du possible, aux questions légitimes des lecteurs. Compte tenu de l’intérêt de l’ouvrage, sa traduction en langue anglaise et castillane, est d’ores et déjà envisagée.

Collection ParateViam

ÉDITEUR GE DIFFUSION

Disponible chez Amazon.fr
Hercule738
de Hercule à Cervantex,
Bonjour Cervantex,
Il n'y a aucune preuve historique que Claudia Procula (la femme de Ponce Pilate (du Mont Pilat)) et Sainte Marie-Madeleine seraient venues à Rennes-Les-Bains (11 - Aude) ...
Pour Claudia Procula, il semble qu'elle serait (sous toutes réserves) une petite-fille de l'empereur Tibère et selon un apocryphe détenu par l'Evêché de Carcassonne, nous savons …Plus
de Hercule à Cervantex,

Bonjour Cervantex,

Il n'y a aucune preuve historique que Claudia Procula (la femme de Ponce Pilate (du Mont Pilat)) et Sainte Marie-Madeleine seraient venues à Rennes-Les-Bains (11 - Aude) ...

Pour Claudia Procula, il semble qu'elle serait (sous toutes réserves) une petite-fille de l'empereur Tibère et selon un apocryphe détenu par l'Evêché de Carcassonne, nous savons aussi qu'elle aurait passé son adolescencence à Narbonne ...

Il semble que ce soit de cutte manière qu'elle a connu Ponce Pilate qui était cantoné en Narbonnaise avec ses légionnaires ...

Suite à leur mariage, Ponce Pilate aurait aussitôt obtenu une belle promotion pour la Terre Sainte où ils se sont installés avec son épouse et ses trois légions romaines, composées en fait surtouit de Gaulois (voir la conférence de l'Abbé BOLO "Les Gaulois à la Passion du Christ) ...

Pour Marie-Madeleine, entre son arrivée aux Saintes-Maries-de-la-Mer avec sa soeur Marthe et son frère Lazare, et sa fin de vie dans la grotte de Sainte Baume, près de Marseille, on ne sait strictement rien ...

C'est pour cela que de temps à autre, il est judicieux d'aller interroger le site de Maria Valtorta qui nous en dit beaucoup sur ces temps passées bénis par le Seigneur de l'Evangélisation de la Gaule ...

Par contre, j'ai aussi appris que la famille de St Lazare (dont de Ste Marie-Madeleine et Ste Marthe) se serait installé dans la Narbonnaise ...

Hercule
revelation-apoc-key.forumactif.com
Cervantex
J'ai adoré ce livre 👍 Claudia Procula (la femme de Ponce Pilate (du Mont Pilat)) et peut-être même Sainte Marie-Madeleine seraient venues à Rennes-Les-Bains.
Ne nous laissez pas sucomber
Si vous voulez savoir qu'elle est le symbole terrestre de Vatican II ,allez sur YouTube et cliquer sur "sordide petit secret des tour jumelles"transposez ce qui en est dit à l'échelle humaine et spirituel décadent bassement humain , et réfléchissez .