L'incroyable "CV" de monsieur Joachim Boufflet
( attention. Les âmes sensibles doivent réfléchir avant de lire ce document ).
Joachim Bouflet
• Né en 1948, d’un père français et d’une mère allemande
• 1965-1972 : étudiant en histoire à Paris (Sorbonne) ; obtient une maîtrise dans cette discipline.
• Il se serait converti au catholicisme en 1966.
• À partir de 1968, des « phénomènes paranormaux », parfois déroutants, sont évoqués par des témoins oculaires : extases, visions, stigmates (visibles), saignements inexpliqués, lévitations, déformations du visage, « gonflement » du corps, etc. Ces diverses manifestations auraient pris fin en 1987.
• En 1968, B. se rend à San Giovanni Rotondo (Italie, Pouilles) où il prend part à une messe dite par saint Padre Pio qu’il rencontre alors (mais un tel échange ne fait de B. en aucune manière, un « fils spirituel » du P. Pio).
• Cette rencontre eut lieu un mois avant la mort du P. Pio ; à cette date, les stigmates du saint sont totalement visibles. Pourtant Bouflet affirme regretter ne pas les avoir vus (entretien, Le Monde, 8 janvier 2005).
• Boufflet décrit également cette rencontre comme la base de sa vocation d’historien du surnaturel, ajoutant qu’il demanda l’avis de saint P. Pio au sujet des apparitions italiennes de San Damiano, et il s’empressa, selon son propre témoignage, de rejoindre le lieu après la visite à San Giovanni Rotondo.
• En fait, sa vraie « vocation » est la suivante : en 1970, il rencontre à Rome un prêtre travaillant pour la congrégation pour les causes des saints ; celui-ci, en apprenant que Boufflet connaissait l’Allemand, lui aurait alors confié la traduction des documents relatifs à Anne-Catherine Emmerick.
• En 1967/1968, il habite à Paris, chez Madame Bernadette Mervoyer, 80 rue de Vaugirard (6e). Cette femme aurait conservé des linges trempés du sang de Bouflet, recueilli lors de prières organisées chez elle.
• Les années 1973/1974 marquent un tournant : il frappe à la porte des Carmes belges de Chevrement mais après un court essai de vie religieuse, il est mis à la porte manu militari de cette communauté.
• À cette époque, il se brouille gravement avec les éditions Téqui dont le directeur, Pierre Lemaire, le met à la porte. Boufflet raconte alors à plusieurs témoins qu’il abattrait le « vieux » (P. Lemaire). Des procédures judiciaires s’engagent. En 1989, on estime que Téqui a perdu 600.000 francs par la faute des tracasseries et manœuvres diverses de J. Bouflet.
• Il noue des contacts avec le père Henri Brincard (futur évêque du Puy) et le père Marie-Dominique Philippe. Ces deux ecclésiastiques échangent régulièrement avec Bouflet et le futur évêque du Puy se rend en sa compagnie chez Madame Ida Guiomar, au 19, rue de Babylone (Paris), qui vit avec ses deux fils, où sont organisées des réunions de prière. Là, les « messages » dictés par Bouflet sont consignés et publiés en fascicules non signés par l’auteur. On connait également dans ce logement la présence d'une personne « se disant voyante et affirmant faire de la magie » ainsi que celle d’un « spécialiste des nombres ».
• C’est de cette époque que Bouflet devient le « conseiller » (informel) du père Brincard, en particulier en matière spirituelle. Et c’est aussi à cette date qu’il se réfugie presque tous les vendredis dans la maison de campagne d’Ida Guiomar, en Seine-et-Marne, pour participer à la Passion du Seigneur en toute tranquillité. Communions miraculeuses sur la langue, extases, apparitions de la Vierge, lévitations… autant d’expériences extraordinaires rapportées par des témoins au sujet de Bouflet. Le père Brincard était tenu informé de façon continue sur la tournure prise par les événements.
• Après son renvoi du couvent des Carmes, il vit avec un homme nommé Pierre Feuillerade qu’il fait passer pour son demi-frère. Jean de Nicolay, riche et catholique, l’aide beaucoup. Tous trois se retrouvent dans l’appartement de Pierre, dans le quartier du Marais à Paris.
• De par son lien amical avec Brincard (qui restera longtemps intact après l’ordination épiscopale de celui-ci) Bouflet fait la connaissance d’un autre homme d’affaires, Pierre Brincard, parent d’Henri, banquier de son état. En peu de temps, Bouflet devient propriétaire de deux appartements parisiens dans un même immeuble de la rue Eteix (18e arrondissement).
• En 1983, un prêtre rencontre Bouflet au cours d’une retraite sacerdotale à la communauté Saint-Jean, prêchée par Marie-Dominique Philippe. Il se présente alors de la manière suivante : « historien, enseignant à la Sorbonne, consultant agrée à la cause de béatification au Vatican » et membre de la « famille de Louis XVI ».
• Plusieurs coupures de presse ont semé le trouble quant son statut dans l’Eglise : il n’a jamais été « consulteur » ni « consultant agréé » mais consultant auprès des postulateurs de la congrégation pour les causes des saints (sur demande de Mgr Pican, évêque de Bayeux-Lisieux, pour la béatification de Léontine de Germigny, et Mgr Gourvès, évêque de Vannes, pour celle d’Yves Nicolazic ; cf. Le Télégramme, 20 avril 2000).
• En 1983/1984, il est employé au ministère de la Culture (peut-être grâce à l’appui du père Marie-Dominique). Il y fait la connaissance de sa future femme, Geneviève, tandis qu’il tente de discréditer (en vain) l’un de ses supérieurs, Dominique X (s’agit-il de Dominique Ponnau, directeur de l’Ecole du Louvre à cette époque, et dont l’une des secrétaires portait le prénom de Geneviève ?).
• Le 19 janvier 1986, Marie-Dominique Philippe préside leur cérémonie de mariage en l’église parisienne de Saint-Honoré d’Eylau. Pendant la messe, selon les dires de Bouflet, le Christ lui aurait demandé de faire un « mariage blanc » car le Ciel l’aurait désigné comme père du futur roi de France. La mère, Geneviève, devait mourir à la naissance de l’enfant qui serait pris en charge par la providence divine. C’est Marie-Dominique qui aurait été chargé par Dieu de donner la date à laquelle l’enfant devait être engendré. Or, Geneviève, ne savait rien de tout ceci ! Elle habitait alors un appartement situé au boulevard Saint-Germain où Bouflet ne venait en fait que très épisodiquement. Après leur mariage, il sera absent les trois quarts de la semaine.
• Marie-Dominique est reçu à déjeuner ou dîner chez les jeunes mariés lorsqu’ils sont réunis dans l’appartement du boulevard Saint-Germain. Là, divers phénomènes auraient été constatés : stigmates, larmes de sang, dématérialisations, etc.
• En 1987, au cours d’une réunion de prière, Bouflet affirme voir la Vierge qui aurait ce jour-là au prêtre présent dans l’assistance de bénir les gens. Or, ce jour-là, il n’y avait aucun prêtre présent ! Peu après, l’archevêque de Paris promulgua un interdit de réunions après que plusieurs plaintes aient été déposées, notamment auprès du père de Germiny, secrétaire du cardinal Lustiger.
• Bouflet ne vit donc pas avec son épouse, et ce, depuis le début de leur mariage, mais avec un homme, Thierry Pisis, propriétaire d’un appartement au-dessus du sien, acheté par Marie-Dominique.
• Un Samedi saint, le père Brincard est témoin de la scène suivante : après dîner, et après avoir dit qu’il venait d’endurer la Passion, il demande à Thierry Pisis de le rejoindre dans son lit. Celui-ci refuse. Le ton monte. Une querelle s’ensuit. Thierry se retire chez lui. Peu après, des passants voient un homme grimper sur le mur extérieur de l’immeuble sans aucune aide, pas même une vigne vierge, à une vitesse surprenante. Cet homme, c’est Joaquim Bouflet qui parvient ainsi à la fenêtre de la chambre de Thierry. Apercevant le visage de son ami, celui-ci ouvre brusquement la fenêtre précipitant Bouflet plusieurs mètres plus bas. Ce dernier se relève, sans l’ombre d’une blessure. Les policiers, prévenus du vacarme causée par la dispute des deux hommes, arrivent sur place et dressent un procès-verbal qui fait mention d’une « querelle entre homosexuels ».
• Peu après, il est hospitalisé pour une soi-disant opération chirurgicale : une tumeur de « presque un kilo » doit lui être retirée. Mais il échappe à l’intervention, la dite tumeur ayant subitement disparue sans l’aide la médecine.
• En janvier 1987, après avoir dîné chez son riche ami Nicolay, Bouflet se met subitement à se cogner la tête « avec une violence inouïe » sur le marbre de la terrasse de la maison, revivant de cette manière, selon ses paroles, le martyre de Louis XVI.
• En juin 1981, il dirige l’association française des amis d’Anne-Catherine Emmerich (siège social : 33, rue de l’Abbé Grégoire, Paris 6e). Mais c’est au cours des années 2000 qu’il publie ses ouvrages (dont l’un sous pseudonyme - Benoît Barel - : une biographie du bienheureux Marcel Callo).
• Le 14 août 1997, Bouflet rédige le contenu d’une enquête sur 21 apparitions mariales contemporaines. Le rédacteur en chef du journal, Philippe Oswald, est contraint de demander pardon à nombre de ses lecteurs, tant la charge de Bouflet est virulente et déstabilisante (cf. réponse d’André Castella, dans Stella Maris, n° 330).
• Le dimanche 26 janvier 2003, une publicité, sous forme d’affiches) est faite pour une « récollection avec J. Bouflet », de 9 h à 16 h, au sein d’un « groupe de prière Saint Padre Pio, Fraternité des Capucins », au 32, rue Boissonade (Paris 14e).
• C’est de cette époque que date la rupture de Bouflet avec le père René Laurentin qui lui avait demandé de collaborer à un futur Dictionnaire des apparitions de la Vierge Marie ; le théologien lui avait offerte une préface élogieuse pour l’un de ses premiers livres.
Joachim Bouflet
• Né en 1948, d’un père français et d’une mère allemande
• 1965-1972 : étudiant en histoire à Paris (Sorbonne) ; obtient une maîtrise dans cette discipline.
• Il se serait converti au catholicisme en 1966.
• À partir de 1968, des « phénomènes paranormaux », parfois déroutants, sont évoqués par des témoins oculaires : extases, visions, stigmates (visibles), saignements inexpliqués, lévitations, déformations du visage, « gonflement » du corps, etc. Ces diverses manifestations auraient pris fin en 1987.
• En 1968, B. se rend à San Giovanni Rotondo (Italie, Pouilles) où il prend part à une messe dite par saint Padre Pio qu’il rencontre alors (mais un tel échange ne fait de B. en aucune manière, un « fils spirituel » du P. Pio).
• Cette rencontre eut lieu un mois avant la mort du P. Pio ; à cette date, les stigmates du saint sont totalement visibles. Pourtant Bouflet affirme regretter ne pas les avoir vus (entretien, Le Monde, 8 janvier 2005).
• Boufflet décrit également cette rencontre comme la base de sa vocation d’historien du surnaturel, ajoutant qu’il demanda l’avis de saint P. Pio au sujet des apparitions italiennes de San Damiano, et il s’empressa, selon son propre témoignage, de rejoindre le lieu après la visite à San Giovanni Rotondo.
• En fait, sa vraie « vocation » est la suivante : en 1970, il rencontre à Rome un prêtre travaillant pour la congrégation pour les causes des saints ; celui-ci, en apprenant que Boufflet connaissait l’Allemand, lui aurait alors confié la traduction des documents relatifs à Anne-Catherine Emmerick.
• En 1967/1968, il habite à Paris, chez Madame Bernadette Mervoyer, 80 rue de Vaugirard (6e). Cette femme aurait conservé des linges trempés du sang de Bouflet, recueilli lors de prières organisées chez elle.
• Les années 1973/1974 marquent un tournant : il frappe à la porte des Carmes belges de Chevrement mais après un court essai de vie religieuse, il est mis à la porte manu militari de cette communauté.
• À cette époque, il se brouille gravement avec les éditions Téqui dont le directeur, Pierre Lemaire, le met à la porte. Boufflet raconte alors à plusieurs témoins qu’il abattrait le « vieux » (P. Lemaire). Des procédures judiciaires s’engagent. En 1989, on estime que Téqui a perdu 600.000 francs par la faute des tracasseries et manœuvres diverses de J. Bouflet.
• Il noue des contacts avec le père Henri Brincard (futur évêque du Puy) et le père Marie-Dominique Philippe. Ces deux ecclésiastiques échangent régulièrement avec Bouflet et le futur évêque du Puy se rend en sa compagnie chez Madame Ida Guiomar, au 19, rue de Babylone (Paris), qui vit avec ses deux fils, où sont organisées des réunions de prière. Là, les « messages » dictés par Bouflet sont consignés et publiés en fascicules non signés par l’auteur. On connait également dans ce logement la présence d'une personne « se disant voyante et affirmant faire de la magie » ainsi que celle d’un « spécialiste des nombres ».
• C’est de cette époque que Bouflet devient le « conseiller » (informel) du père Brincard, en particulier en matière spirituelle. Et c’est aussi à cette date qu’il se réfugie presque tous les vendredis dans la maison de campagne d’Ida Guiomar, en Seine-et-Marne, pour participer à la Passion du Seigneur en toute tranquillité. Communions miraculeuses sur la langue, extases, apparitions de la Vierge, lévitations… autant d’expériences extraordinaires rapportées par des témoins au sujet de Bouflet. Le père Brincard était tenu informé de façon continue sur la tournure prise par les événements.
• Après son renvoi du couvent des Carmes, il vit avec un homme nommé Pierre Feuillerade qu’il fait passer pour son demi-frère. Jean de Nicolay, riche et catholique, l’aide beaucoup. Tous trois se retrouvent dans l’appartement de Pierre, dans le quartier du Marais à Paris.
• De par son lien amical avec Brincard (qui restera longtemps intact après l’ordination épiscopale de celui-ci) Bouflet fait la connaissance d’un autre homme d’affaires, Pierre Brincard, parent d’Henri, banquier de son état. En peu de temps, Bouflet devient propriétaire de deux appartements parisiens dans un même immeuble de la rue Eteix (18e arrondissement).
• En 1983, un prêtre rencontre Bouflet au cours d’une retraite sacerdotale à la communauté Saint-Jean, prêchée par Marie-Dominique Philippe. Il se présente alors de la manière suivante : « historien, enseignant à la Sorbonne, consultant agrée à la cause de béatification au Vatican » et membre de la « famille de Louis XVI ».
• Plusieurs coupures de presse ont semé le trouble quant son statut dans l’Eglise : il n’a jamais été « consulteur » ni « consultant agréé » mais consultant auprès des postulateurs de la congrégation pour les causes des saints (sur demande de Mgr Pican, évêque de Bayeux-Lisieux, pour la béatification de Léontine de Germigny, et Mgr Gourvès, évêque de Vannes, pour celle d’Yves Nicolazic ; cf. Le Télégramme, 20 avril 2000).
• En 1983/1984, il est employé au ministère de la Culture (peut-être grâce à l’appui du père Marie-Dominique). Il y fait la connaissance de sa future femme, Geneviève, tandis qu’il tente de discréditer (en vain) l’un de ses supérieurs, Dominique X (s’agit-il de Dominique Ponnau, directeur de l’Ecole du Louvre à cette époque, et dont l’une des secrétaires portait le prénom de Geneviève ?).
• Le 19 janvier 1986, Marie-Dominique Philippe préside leur cérémonie de mariage en l’église parisienne de Saint-Honoré d’Eylau. Pendant la messe, selon les dires de Bouflet, le Christ lui aurait demandé de faire un « mariage blanc » car le Ciel l’aurait désigné comme père du futur roi de France. La mère, Geneviève, devait mourir à la naissance de l’enfant qui serait pris en charge par la providence divine. C’est Marie-Dominique qui aurait été chargé par Dieu de donner la date à laquelle l’enfant devait être engendré. Or, Geneviève, ne savait rien de tout ceci ! Elle habitait alors un appartement situé au boulevard Saint-Germain où Bouflet ne venait en fait que très épisodiquement. Après leur mariage, il sera absent les trois quarts de la semaine.
• Marie-Dominique est reçu à déjeuner ou dîner chez les jeunes mariés lorsqu’ils sont réunis dans l’appartement du boulevard Saint-Germain. Là, divers phénomènes auraient été constatés : stigmates, larmes de sang, dématérialisations, etc.
• En 1987, au cours d’une réunion de prière, Bouflet affirme voir la Vierge qui aurait ce jour-là au prêtre présent dans l’assistance de bénir les gens. Or, ce jour-là, il n’y avait aucun prêtre présent ! Peu après, l’archevêque de Paris promulgua un interdit de réunions après que plusieurs plaintes aient été déposées, notamment auprès du père de Germiny, secrétaire du cardinal Lustiger.
• Bouflet ne vit donc pas avec son épouse, et ce, depuis le début de leur mariage, mais avec un homme, Thierry Pisis, propriétaire d’un appartement au-dessus du sien, acheté par Marie-Dominique.
• Un Samedi saint, le père Brincard est témoin de la scène suivante : après dîner, et après avoir dit qu’il venait d’endurer la Passion, il demande à Thierry Pisis de le rejoindre dans son lit. Celui-ci refuse. Le ton monte. Une querelle s’ensuit. Thierry se retire chez lui. Peu après, des passants voient un homme grimper sur le mur extérieur de l’immeuble sans aucune aide, pas même une vigne vierge, à une vitesse surprenante. Cet homme, c’est Joaquim Bouflet qui parvient ainsi à la fenêtre de la chambre de Thierry. Apercevant le visage de son ami, celui-ci ouvre brusquement la fenêtre précipitant Bouflet plusieurs mètres plus bas. Ce dernier se relève, sans l’ombre d’une blessure. Les policiers, prévenus du vacarme causée par la dispute des deux hommes, arrivent sur place et dressent un procès-verbal qui fait mention d’une « querelle entre homosexuels ».
• Peu après, il est hospitalisé pour une soi-disant opération chirurgicale : une tumeur de « presque un kilo » doit lui être retirée. Mais il échappe à l’intervention, la dite tumeur ayant subitement disparue sans l’aide la médecine.
• En janvier 1987, après avoir dîné chez son riche ami Nicolay, Bouflet se met subitement à se cogner la tête « avec une violence inouïe » sur le marbre de la terrasse de la maison, revivant de cette manière, selon ses paroles, le martyre de Louis XVI.
• En juin 1981, il dirige l’association française des amis d’Anne-Catherine Emmerich (siège social : 33, rue de l’Abbé Grégoire, Paris 6e). Mais c’est au cours des années 2000 qu’il publie ses ouvrages (dont l’un sous pseudonyme - Benoît Barel - : une biographie du bienheureux Marcel Callo).
• Le 14 août 1997, Bouflet rédige le contenu d’une enquête sur 21 apparitions mariales contemporaines. Le rédacteur en chef du journal, Philippe Oswald, est contraint de demander pardon à nombre de ses lecteurs, tant la charge de Bouflet est virulente et déstabilisante (cf. réponse d’André Castella, dans Stella Maris, n° 330).
• Le dimanche 26 janvier 2003, une publicité, sous forme d’affiches) est faite pour une « récollection avec J. Bouflet », de 9 h à 16 h, au sein d’un « groupe de prière Saint Padre Pio, Fraternité des Capucins », au 32, rue Boissonade (Paris 14e).
• C’est de cette époque que date la rupture de Bouflet avec le père René Laurentin qui lui avait demandé de collaborer à un futur Dictionnaire des apparitions de la Vierge Marie ; le théologien lui avait offerte une préface élogieuse pour l’un de ses premiers livres.