L'infaillibilité de l'Église

Il y a eu des « chefs » dans le passé illégitimes. Quoiqu'en soit les laïcs n'ont pas l'autorité pour le déclarer officiellement anti-pape, néanmoins, en tant que catholiques, nous devons prendre position : Pape ou anti-pape. Ainsi, si on affirme qu'il est le Pape nous devons lui rendre notre devoir d'obéissance, mais petit problème ici, car si on lui obéit on perd la foi et par suite on ira en enfer. À lui ne peuvent s'appliquer les promesses de Notre-Seigneur Jésus-Christ à son Vicaire :
J'ai prié pour toi afin que ta foi ne défaille point...
Affermis tes frères...
Pais mes agneaux, pais mes brebis...
Tout ce que vous lierez sur la terre...
Avec la nouvelle déclaration sur les sodomites approuvée par Bergoglio, plusieurs personnes, par la grâce de Dieu, vont commencer à se réveiller : qu'un tel crime qui crie vengeance au ciel, ne peut être béni par le Vicaire du Christ. Ceux qui font de telles choses ou les approuvent sont dignes d'anathème! Cette déclaration venant de la contre-église est extrêmement gravissime et scandaleuse pour ceux dont la foi est chancelante! On devrait voir tout le monde, clercs et laïcs, se lever contre ce scandale qui attirera la vengeance de Dieu si personne ne fait pénitence!

« Où sont-ils, ces ministres du Seigneur qui combattent aujourd'hui pour la vraie Foi avec courage et intrépidité, sans ménagement et sans compromis de doucereux salonnards et de vils traîtres? N'ont-ils pas honte, ces ministres qui sont devenus mous, efféminés, comme des chiens de salon qui ne savent plus aboyer? »

@Hélène33

Merci pour votre réponse.
Pour autant que je sois bon observateur.
- Il me semble que dès la sortie du conclave de 2005, les prélats progressistes ont entamé un sabotage organisé du nouveau pontificat. Wilfried Danneels a formulé publiquement la déclaration de guerre. Georges Narcisse Imbroglio était habilement caché dans le lot.
- Benoît XVI a reçu son coup de grâce, en début de 2013, par la main des financiers américains conduits eux-mêmes par les bonzes du parti démocrate.
On peut donc se dire que le successeur n'est qu'un usurpateur.
- Par la suite, "l'élu" a cultivé tout à plaisir les ambiguïtés en matière de Foi et de morale. Ce qui est exactement le contraire de la mission reçue. (Ce que vous avez fort bien observé par vous-même.)
On peut donc se dire qu'en plus d'être un usurpateur, le sbire en question est aussi un saboteur.
Reste à affirmer notre Foi : l'Eglise se relèvera de toutes ces turpitudes voulues par tant de ses prélats.

@Etienne bis,
Désolée du délai de réponse. La subversion a commencée, bien avant Bergoglio : tous ses devanciers (depuis Roncalli) ne sont pas mieux que ce dernier, puisqu'ils ont propagés autant que lui, quoique de manière plus sournoise pour commencer, les hérésies et les abominations de Vatican II. Comme la liberté religieuse et l'oecuménisme anticatholique, qui sont les deux pilastres de leur nouvelle église conciliaire, comme eux-mêmes l'ont nommée. Ce n'est pas l'Église catholique romaine, mais une église humanitaire babylonienne (satanique), dont le but final est une religion mondiale sous la domination de l'antéchrist. Une tour de Babel : sans DIEU, sans dogme ni morale, où chacun croit ce qu'il veut et fait ce qu'il veut et, où tous sont bienvenus.
Les signes distinctifs appelés les quatre marques positives de la vraie Église catholique sont : l'unité, la sainteté, la catholicité et l'apostolicité, on les retrouve insérées dans le Credo que l'on récite à la Messe. Les Pères de l'Église utilisaient cette méthode pour différencier l'Église du Christ des autres sectes qui se réclamaient faussement être la véritable Église. La vraie doit donc les posséder toutes.
L'église conciliaire en reconnaissant que le salut peut se trouver en dehors de l'Église catholique, s'auto-proclame contre la véritable Église, car elle ne possède pas l'unité (unité dans la Foi, dans la doctrine, dans la morale). Elle ne possède pas la doctrine des Apôtres, car elle empêche la conversion des non-catholiques. Ces deux signes suffisent pour montrer que la nouvelle église conciliaire issue du conciliabule Vatican II n'est pas l'Église du Christ.
Soyez persuadé que si Bergoglio a eu aujourd'hui l'audace et la témérité (puisque ce crime appelle le feu du Ciel sur nos têtes si personne ne fait pénitence) de réclamer une « bénédiction » pour les sodomites illicitement unis, c'est que le terrain avait été préparé avant lui. Justement par la promulgation d'un nouveau catéchisme hérétique, d'une nouvelle morale de plus en plus molle, par la promulgation d'une cène protestante remplaçant le Saint Sacrifice de la Messe, etc.