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BIOETHIQUE ET CEF - L’ÉGLISE DE FRANCE RECEVRA LE PRESIDENT EMMANUEL MACRON LORS D'UNE SOIREE AUX BERNARDINS, le 9 AVRIL ...

BIOETHIQUE ET CEF - L’Église recevra Emmanuel Macron lors d’une soirée aux Bernardins le 9 avril ...

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L’Église recevra Emmanuel Macron lors d’une soirée aux Bernardins le 9 avril
Propositions pour le 9 avril (à diffuser de toutes manières possibles aux évêques concernés) :

1 - Demander que la FIV ne procède plus en fabriquant des embryons congelés. Ceux-ci sont actuellement tous voués à alimenter en matériau de recherche des recherches où un être humain (doté d’une âme immortelle) sont manipulés, déshumanisés à des fins utilitaristes. Or c'est possible de réviser le mode de fécondation in vitro par exemple : n’autoriser la fécondation de 2 (ou 3) ovocytes à la fois permet d’éviter la destruction et la créer ton d’êtres humains qui ne seront pas implantés. Il est éthiquement et médicalement nettement préférable de congeler et vitrifier des ovocytes plutôt que des êtres humains déjà conçus et qui sont en droit moral des personnes humaines à part entière dès la conception et l’individuation à l’apparition du génome. Cette vitrification d’ovocyte est pleinement maîtrisée et permet des taux de conservation bien au-delà de celle des embryons fécondés. Les embryons conçus et obtenus chaque année en PMA : 400.000 /an, (même s’ils ne sont pas tous issus de la FIV) appellent à la conscience de l’État, des français et des médecins pour faire cesser ce carnage humain … Si les parents s'engagent à les garder pour eux ou l'adoption en cas de congélation inévitable …la congélation de leur enfant ne devrait être qu’un pis-aller préférable à la destruction de l’enfant surnuméraire non implanté. La congélation des embryons n’est généralement aujourd’hui dans l’état de la science et des techniques ni nécessaire ni humaine.

2 - Demander que le clonage humain des embryons soit interdit par la Loi ce qui N'EST PAS LE CAS en France, comme un symbole que la France ne se veut pas être coupable d'un glissement d'un eugénisme d’État, condamné à juste titre par la conscience collective européenne et individuelle à Nuremberg, vers un eugénisme démocratique indolore, mais à l'insu de tous, qui ne peut être acceptable ni tolérable.

3 - Demander que soit interdite la conception humaine en dehors de traitement pathologique de la procréation humaine et en dehors de paternité et maternité responsable. Il convient expressément de prendre en considération les conséquences psychiques, juridiques, sociales des errances que les études scientifiques sérieuses sur ces questions à l'étranger démontrent, (et que le CCNE ne peut nier ni les hommes de bonne foi qui se penchent sur ces questions ), comme de la même façon les observations que la biologie fait à propos des incidences psychiques d’autant plus lourdes de conséquences qu’elle opère précocement sur l’être humain embryonnaire (et a fortiori en cours de conception) de l’épigenèse de la conception et du développement précoce de l'embryon humain.

4 - Demander de proscrire toute tentative de modification et de mutation du génome humain : il s'agit de volonté de modification de l'espèce humaine, dans un Lieu et un Instant de Création où Dieu se rend présent pour créer une âme humaine et un enfant de Dieu. Toute dérive sera considérée par L’Église comme un Sacrilège "dans le Sanctuaire de la création humaine réservée à Dieu seul " (Pdt J Chirac, Février 2001, salon Biovision à Lyon).

5 - Demander enfin que ni en début de vie ni en fin de vie l’être humain ne soit considéré comme un donneur d’organes et de tissus humains alors même qu’il n’y a pas consenti (ou ne peut le faire compte tenu de son état) et qu’il est encore animé, autrement dit non réellement mort. Le critère mort clinique par mort cérébrale est actuellement à remettre en question dans les décisions qui sont prises par la médecine à qui l’accès des organes de personnes décidées a été donnée. De la même façon il devra être procédé au respect des êtres humains embryonnaires qui ne sont pas encore morts et à l’instar des directives en cours aux USA de privilégier les tissus d’enfants mort nés (prématuré ou non)

6 - Demander que soit révisée et strictement encadré l’élimination d’enfants conçus après DPI et DPN notamment sous prétexte de risque de maladie lors même que ces maladies sont tout à fait du ressort de la médecine de les soigner et voire de les prévenir. L’embryon humain n’est pas humain parce qu’il n'est pas porteur de maladies ou que des parents ne se sentent pas capable ou désireux d’assumer. Dans tous les cas l’Église se doit de rappeler que l’être humain EST une personne en droit naturel quelle que soit son état de santé présent et futur.